Une étude sur la transmission de la maladie d'Alzheimer

 La maladie d'Alzheimer 

Cette maladie neurodégénérative affectant la mémoire et les autres fonctions cognitives liées au raisonnement, au langage, à l'apprentissage. à l'humeur, à la perte spatiale... Une maladie entrainant une lente dégénérescence des neurones à cause de la formation de plaques amyloïdes et à la destruction des cellules nerveuses. 

Une étude

La publication récente d'une étude anglaise [Nature medicine] mets en évidence une transmission via le prion ;  Le prion est une protéine [B-Amoyloïde ou TAU]. 

Deux formes de  transmission

• Par ADN (hérédité)
• Par un médicament 

Le médicament, en question ?

Un médicament pour faire grandir, l'hormone de croissance extractive. 

Qui a déjà été pointé du doigt lors du scandale de la "vache folle" à la fin des années 1980. Ces hormones de croissance extractive ont été la cause de la maladie de "Creutzfeldt Jacob", une maladie dégénératrice du système nerveux central chez certains patients. 

Il l'est encore lors de cette nouvelle étude publiée, sur 8 patients traités par hormones de croissance extractive en 1980, 7 sur 8 ont développé la maladie d'Alzheimer 30 ans plus tard. Les analyses ADN de ses 7 patients ont montré l'absence de prédisposition à développer la maladie d'Alzheimer. La seule est même source commune a été les injections de cette hormone de croissance extractive.

Depuis le scandale de cette fin 1980, la production d'hormone de croissance extractive a été modifié en France et en Grande-Bretagne. 

Les Chercheurs ont mis en évidence la transmission hors hérédité et comment, cela se passe. Par conséquent, d'autres études peuvent déboucher sur un traitement afin d'éviter la maladie d'Alzheimer.

Les approches médicales 

Actuellement, 

Être vieux n'est pas la cause du déclenchement de la maladie d'Alzheimer mais une inactivité mentale et physique, un mauvais sommeil, une mauvaise gestion du stress, l'isolement social, une mauvaise alimentation...Sont des facteurs du déclenchement. 

Le maintien de la fonction mentale, les gestes de la vie courante comme s'occuper d'un animal de compagnie,  permets de faire de l'exercice, d'avoir des relations sociales font  ralentir, retarder la maladie.

Un suivi tant pour l'animal que pour la personne est nécessaire lorsque le diagnostic a été posé.  S'en suit, le traitement des symptômes, une thérapie des fonctions mentales...La prescription d'un médicament.

Alors, avant d'interdire aux personnes seules, aux personnes âgées la possession d'un chien,  d'un chat....Le  chien permets d'avoir du lien social lors des promenades et ou au parc à chien. D'où, l'importance des accès autorisés  aux chiens en ville afin de lutter contre l'isolement  des personnes. Puis, de favoriser l'intégration dans les résidences senior de l'animal de compagnie pour une meilleure autonomie et qualité de fin de vie.

Les chiens sont sources de bienfaits pour les personnes humaines de tous les âges.